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3 bonnes raisons d’adopter YUMUM à chaque étape de ta maternité

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En tant que maman,
Anne a vécu le post-partum comme un véritable défi : des journées sans fin, entre l’arrivée de bébé, la fatigue et la charge mentale. Elle a créé YuMum pour offrir à chaque maman ce qu’elle aurait aimé avoir à ce moment-là : des repas réconfortants, nourrissants et simples, pour prendre soin d’elles-mêmes tout en s'occupant de son bébé.
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Seed cycling : comment rééquilibrer ses hormones grâce aux graines ?
Le seed cycling est une méthode naturelle qui consiste à consommer différentes graines au fil du cycle menstruel pour soutenir l’équilibre hormonal.Populaire dans l’univers du bien-être féminin, cette pratique est de plus en plus adoptée par les femmes souffrant de syndrome prémenstruel (SPM), de cycles irréguliers, de troubles de la fertilité ou simplement en quête d’un meilleur équilibre hormonal. Mais en quoi consiste réellement le seed cycling ? Quelles graines utiliser, à quelle période, et quels sont les bénéfices attendus ? On t’explique tout dans cet article complet. Qu’est-ce que le seed cycling ? Le seed cycling est une approche nutritionnelle qui vise à accompagner les fluctuations hormonales naturelles tout au long du cycle féminin.Le principe est simple : Pendant la première moitié du cycle (phase folliculaire) : on consomme certaines graines qui soutiennent la production d’œstrogènes. Pendant la seconde moitié du cycle (phase lutéale) : on privilégie d’autres graines qui favorisent la production de progestérone. Ces graines apportent des nutriments spécifiques (fibres, acides gras essentiels, minéraux) qui agissent en douceur sur le système endocrinien. Les graines utilisées dans le seed cycling Phase folliculaire (jour 1 à 14 du cycle) Graines de lin : riches en lignanes, elles favorisent un équilibre des œstrogènes et soutiennent le transit. Graines de courge : sources de zinc, elles contribuent à la production d’hormones et à une bonne santé ovarienne. Recommandation : 1 cuillère à soupe de lin + 1 cuillère à soupe de courge moulues par jour. Phase lutéale (jour 15 à 28 du cycle) Graines de sésame : riches en lignanes et en calcium, elles soutiennent la progestérone. Graines de tournesol : riches en sélénium et vitamine E, elles protègent le corps du stress oxydatif et accompagnent la fonction hormonale. Recommandation : 1 cuillère à soupe de sésame + 1 cuillère à soupe de tournesol moulues par jour. Conseil pratique : moudre les graines (au moulin à café ou blender) pour mieux absorber leurs nutriments. Conseils de conservation des graines Pour préserver leurs nutriments et éviter le rancissement des acides gras : Conserver les graines entières dans un bocal hermétique à l’abri de la chaleur, de l’humidité et de la lumière. Une fois moulues, elles s’oxydent rapidement : Moudre les graines au fur et à mesure de la consommation est l’idéal. Sinon, conserver les graines moulues au réfrigérateur dans un pot hermétique, maximum 5 à 7 jours. Conserver les graines entières dans un bocal hermétique à l’abri de la chaleur, de l’humidité et de la lumière. Quels sont les bienfaits du seed cycling ? Même si les études scientifiques sont encore limitées, de nombreux retours d’expérience et certaines bases nutritionnelles suggèrent que le seed cycling peut aider à : Réguler les cycles menstruels (notamment en cas de cycles irréguliers). Réduire les symptômes du SPM (ballonnements, douleurs, irritabilité). Soutenir la fertilité en équilibrant les œstrogènes et la progestérone. Améliorer la qualité de la peau et des cheveux grâce aux nutriments apportés. Accompagner la transition hormonale (post-partum, pré-ménopause, ménopause). Comment intégrer le seed cycling dans son quotidien ? 1. Suivre son cycle menstruel Le seed cycling se base sur le découpage du cycle en deux phases. Il est donc important de connaître la durée de son cycle (en moyenne 28 jours, mais il peut varier). Jour 1 = premier jour des règles. Passage à la phase lutéale après l’ovulation (souvent autour du jour 14). 2. Intégrer les graines dans son alimentation Quelques idées : Saupoudrer les graines moulues dans les smoothies, yaourts, porridges. Les ajouter dans les salades, soupes, buddha bowls. Les intégrer dans des recettes de granola maison ou energy balls. 3. Être régulière et patiente Comme pour toute approche naturelle, les effets du seed cycling ne sont pas immédiats. Il est recommandé de le pratiquer au moins 3 mois pour en ressentir les bénéfices. Qui peut pratiquer le seed cycling ? Les femmes en quête d’un meilleur équilibre hormonal. Celles qui souffrent de SPM, d’endométriose, d’ovaires polykystiques (SOPK) ou de cycles irréguliers. Les femmes en post-partum, en pré-ménopause ou ménopause. ⚠️ Toutefois, le seed cycling ne remplace pas un suivi médical. En cas de pathologie hormonale (thyroïde, SOPK sévère, infertilité), il est recommandé de consulter un professionnel de santé. Limites et précautions Peu d’études cliniques valident encore le seed cycling de manière formelle Les résultats peuvent varier selon chaque femme. Certaines graines (lin, sésame) peuvent interagir avec des traitements ou causer des allergies. Le seed cycling est une méthode simple, naturelle et accessible pour accompagner son cycle menstruel et soutenir son équilibre hormonal.Même si la science doit encore approfondir ses effets, les nutriments apportés par les graines sont bénéfiques pour la santé globale et peuvent contribuer à réduire certains désagréments du cycle. En résumé : intégrer les bonnes graines, au bon moment, c’est offrir à son corps un soutien doux et naturel.
Apprendre encore plusChute de cheveux post-partum : pourquoi ça arrive et comment y faire face ?
Après la naissance, de nombreuses jeunes mamans découvrent un phénomène souvent méconnu : la chute de cheveux post-partum. Poignées de cheveux dans la douche, brosse qui se remplit rapidement, cheveux qui paraissent plus fins… Ce changement peut être déstabilisant, surtout dans une période déjà riche en émotions.Mais rassure-toi : il s’agit d’un phénomène normal, temporaire et réversible. Dans cet article, on t’explique pourquoi les cheveux tombent après l’accouchement, combien de temps ça dure, et quels gestes simples peuvent t’aider à retrouver une belle chevelure. Pourquoi perd-on ses cheveux après un accouchement ? Les hormones, principales responsables Pendant la grossesse, le taux élevé d’œstrogènes prolonge le cycle de vie des cheveux. Résultat : ils tombent beaucoup moins, paraissent plus épais, plus brillants, plus denses.Après l’accouchement, la chute hormonale est brutale : les œstrogènes redescendent, ce qui met fin à cette "pause" dans le cycle capillaire. Tous les cheveux qui auraient dû tomber progressivement pendant la grossesse chutent… en même temps. Le stress et la fatigue accentuent le phénomène Le manque de sommeil, la fatigue intense, le stress émotionnel et parfois les carences (fer, zinc, vitamines du groupe B) amplifient la chute. L’allaitement : un facteur aggravant ? L’allaitement en lui-même ne provoque pas la chute de cheveux, mais il puise dans les réserves de la maman, ce qui peut accentuer les carences et donc fragiliser les cheveux. Combien de temps dure la chute de cheveux post-partum ? Elle débute généralement entre le 2ᵉ et le 4ᵉ mois après l’accouchement. Elle peut durer 3 à 6 mois, parfois jusqu’à un an. Dans la majorité des cas, tout rentre dans l’ordre naturellement vers le premier anniversaire de bébé. Bon à savoir : la chute de cheveux post-partum est un phénomène appelé effluvium télogène. Elle ne mène pas à une calvitie définitive. Est-ce qu’on peut éviter la chute de cheveux post-partum ? Il n’existe pas de solution miracle pour l’empêcher complètement, car elle est liée aux hormones. Mais certains gestes permettent de limiter l’intensité et de favoriser la repousse. Conseils pour mieux vivre cette période 1. Miser sur une alimentation riche et variée Une alimentation équilibrée soutient la santé des cheveux. Protéines (œufs, légumineuses, poisson, tofu) → pour renforcer la kératine. Fer (lentilles, épinards, quinoa) → pour limiter la fatigue et la fragilité capillaire. Zinc et sélénium (oléagineux, graines, fruits de mer) → pour stimuler la pousse. Vitamines B (céréales complètes, banane, avocat) → pour nourrir le bulbe capillaire. Oméga-3 (noix, graines de lin, poissons gras) → pour des cheveux brillants et souples. 2. Prendre soin de ses cheveux avec douceur Utiliser un shampoing doux, sans sulfates agressifs. Limiter l’usage du sèche-cheveux, du lisseur ou des coiffures trop serrées. Masser régulièrement le cuir chevelu pour stimuler la circulation sanguine. 3. Compléments alimentaires et infusions adaptées Certaines plantes et compléments peuvent aider à soutenir la santé capillaire (ortie, prêle, levure de bière, vitamines post-natales). Toujours demander conseil à une sage-femme ou un professionnel de santé avant de commencer. 4. Accepter le processus Même si cette chute peut être difficile à vivre, il est important de se rappeler qu’elle est temporaire. Les cheveux repoussent progressivement, parfois avec un duvet ou des "bébés cheveux" sur le front. Quand consulter un professionnel ? Si la chute de cheveux : se prolonge au-delà d’un an, s’accompagne d’une grande fatigue, d’un teint pâle, d’ongles cassants, ou laisse apparaître des zones clairsemées très marquées,il est recommandé de consulter un médecin pour vérifier qu’il n’y a pas de carence sévère ou de trouble thyroïdien (fréquent après l’accouchement). La chute de cheveux post-partum est un passage presque universel, lié aux hormones et aux bouleversements de la maternité. Elle peut être impressionnante, mais elle est naturelle et réversible.En prenant soin de ton alimentation, de ton cuir chevelu, et en acceptant ce temps d’adaptation, tu aideras tes cheveux à repousser plus forts et plus beaux. FAQ – Chute de cheveux post-partum Quand repoussent les cheveux après l’accouchement ? Les cheveux commencent à repousser généralement au bout de 6 à 12 mois après la naissance. Tu peux remarquer des petits "baby hair" au niveau du front ou des tempes dès les premiers mois de repousse. Quels aliments privilégier pour limiter la chute de cheveux post-partum ? Une alimentation riche en protéines, fer, zinc, vitamines B et oméga-3 est essentielle. Les œufs, les lentilles, les épinards, les noix et les poissons gras sont particulièrement recommandés. Est-ce normal de perdre autant de cheveux après la grossesse ? Oui, c’est tout à fait normal. Cette chute, appelée effluvium télogène, est provoquée par la chute hormonale post-accouchement. Même si elle peut sembler impressionnante, elle reste temporaire. L’allaitement aggrave-t-il la chute de cheveux ? L’allaitement ne cause pas directement la chute, mais il peut accentuer les carences nutritionnelles si l’alimentation n’est pas suffisante. D’où l’importance de bien se nourrir et, si besoin, de compléter avec des apports spécifiques. Quand consulter un médecin pour la perte de cheveux post-partum ? Si la chute dure plus d’un an, s’accompagne de signes de carences (ongles cassants, grande fatigue, teint pâle) ou entraîne des zones clairsemées importantes, il est conseillé de consulter pour vérifier l’absence de déficit en fer ou d’un trouble thyroïdien.
Apprendre encore plusCombien de temps dure vraiment le post-partum ?
Le post-partum, aussi appelé période postnatale ou encore quatrième trimestre, désigne le temps qui suit l’accouchement. Souvent résumé par la médecine à 6 semaines après la naissance, il est en réalité beaucoup plus long et complexe. Fatigue, récupération physique, bouleversements hormonaux, ajustements émotionnels et apprentissage du rôle de parent : la durée du post-partum varie énormément d’une femme à l’autre. Dans cet article, on fait le point sur ce que recouvre réellement le post-partum, combien de temps il peut durer, et pourquoi il est important de mieux le reconnaître. Le mot "post-partum" signifie littéralement "après l’accouchement". Traditionnellement, il s’étend sur la période dite de couches, c’est-à-dire les 6 premières semaines. Mais cette définition médicale est très réductrice. Le post-partum inclut :- la récupération physique après l’accouchement (cicatrisation, rééducation, retour des règles, etc.),- les bouleversements hormonaux (chute des hormones de grossesse, montée de lait, retour du cycle),- les ajustements psychologiques (fatigue, baby blues, parfois dépression post-partum),- la réorganisation du quotidien (sommeil, alimentation, allaitement ou biberon, équilibre du couple). La durée "officielle" du post-partum : 6 à 8 semaines En médecine, le post-partum correspond à la consultation postnatale réalisée environ 6 à 8 semaines après l’accouchement.Cette période est considérée comme suffisante pour vérifier la cicatrisation, la reprise du cycle menstruel, et donner le feu vert pour la rééducation du périnée. Mais réduire le post-partum à cette période revient à ignorer une grande partie de la réalité vécue par les mères. La réalité : un processus qui peut durer plusieurs mois, voire années De nombreuses recherches et témoignages montrent que le post-partum est un processus à long terme :- Physiquement : le corps peut mettre entre 9 mois et 2 ans à retrouver son équilibre après une grossesse et un accouchement.- Émotionnellement : l’adaptation au nouveau rôle parental peut s’étendre bien au-delà de la première année.- Sur le plan du couple et de la famille : il faut souvent du temps pour retrouver un équilibre relationnel et une organisation de vie. Le post-partum n’a donc pas de durée universelle : il s’agit d’un cheminement, propre à chaque femme, qui dépend de nombreux facteurs (type d’accouchement, allaitement, soutien reçu, état de santé global, etc.). Pourquoi parle-t-on du "quatrième trimestre" ? De plus en plus, les spécialistes parlent du quatrième trimestre de grossesse pour désigner les 3 premiers mois après l’accouchement.Cette notion met en lumière le fait que :- le corps de la mère continue de se transformer,- la récupération demande du repos et une alimentation adaptée,- le soutien de l’entourage est essentiel,- le bébé est encore très dépendant et fragile. Mais au-delà de ce "quatrième trimestre", beaucoup de femmes ressentent encore les effets du post-partum pendant de longs mois. Les différentes étapes du post-partum On peut distinguer plusieurs phases : 1. Le post-partum immédiat (0 à 48h) Juste après l’accouchement : délivrance, surveillance médicale, premières mises au sein, début de la chute hormonale. 2. Le post-partum précoce (jusqu’à 6 semaines) Récupération physique : lochies (pertes sanguines), douleurs, cicatrisation, mise en route de l’allaitement, baby blues éventuel. 3. Le post-partum prolongé (6 semaines à 6 mois) Retour progressif de l’énergie, rééducation périnéale et abdominale, ajustements dans le couple, retour du cycle. 4. Le post-partum tardif (jusqu’à 2 ans et parfois plus) Régulation hormonale, stabilisation émotionnelle, ajustement à la parentalité. Ce qu’il faut retenir Le post-partum ne dure pas seulement 6 semaines. C’est une transition globale qui touche le corps, l’esprit et la vie sociale. Sa durée est très variable d’une femme à l’autre : de quelques mois à plusieurs années. Reconnaître cette réalité permet de mieux accompagner les mères et de légitimer leurs besoins. Le post-partum est une période charnière de la vie des femmes, bien plus longue et complexe que ce que l’on croit souvent. Plutôt que de chercher une durée précise, il est important d’accepter que chaque parcours soit unique, et que le temps de récupération et d’adaptation varie. Prendre soin de soi, s’entourer, bien s’alimenter et accepter de demander de l’aide sont des clés essentielles pour traverser le post-partum avec plus de douceur. FAQ – La durée du post-partum Quand se termine le post-partum ? Il n’y a pas de date précise : officiellement, on parle de 6 semaines après l’accouchement, mais en réalité, le post-partum peut durer plusieurs mois voire plusieurs années. Le corps, les hormones et les émotions mettent du temps à se stabiliser. Est-ce normal d’être encore fatiguée un an après avoir accouché ? Oui ! La fatigue du post-partum peut persister longtemps, surtout en cas d’allaitement, de nuits courtes, ou de manque de soutien. Cela ne veut pas dire que tu fais "mal les choses", mais que ton corps a encore besoin de récupération. Quelle est la différence entre le "post-partum" et le "quatrième trimestre" ? Le quatrième trimestre désigne les 3 premiers mois après la naissance, une période très intense où la maman et le bébé sont encore en forte adaptation. Le post-partum, lui, englobe une durée beaucoup plus large qui peut s’étendre sur plusieurs années. Peut-on réduire la durée du post-partum ? On ne peut pas vraiment "raccourcir" le post-partum, mais on peut en adoucir les effets : repos, alimentation adaptée, soutien émotionnel, rééducation du périnée, et acceptation de ce temps d’ajustement. Le post-partum est-il le même après une césarienne ou un accouchement par voie basse ? Pas exactement. Après une césarienne, la récupération physique peut être plus longue car il s’agit d’une chirurgie. Mais dans les deux cas, la dimension hormonale et émotionnelle reste importante et nécessite du temps.
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